I. Lisez à haute voix le texte ci-dessous:
Danielè Aron-Rosa a mis au point révolutionnaire qui permet d’opérer avec une prècision extréme: Ele est professeur à Paris VI, chef du service ophtalmologie de l’Hospital Trousseau et membre d’une fouie d’académies scientifiques, mais surtout; elle a imagine entre 1970 et 1973, d’adopter le laser YAG à la chirurgie ophtalmologique: Une idée grace à laquelle les suites de la chirurgie du cristallin artificiel deviennent d’une déconcertante. Le laser YAG permet de faire de la microchirurgie sans faire couler le sang sans risque et sans hospitalisation.

Répondez aux questions suivantes:

a.Qui est Daniéle Aron-Rosa?
b.Qu’est-ce que le laser YAG? Quel est l’avantage de son utilisation en ophtalmologique?

II. On dit souvent que nous vivons dqns un monde „difficile et agresif” Qu’en pensez-vous?

Răspuns
I.
a.Daniéle Aron-Rosa est professeur à Paris VI, chef du service ophtalmologie de l’Hospital Trousseau et membre d’une fouie d’académies scientifiques.
b. Le laser YAG permet d’opérer avec une prècision extréme, ce est une idée grace à laquelle les suites de la chirurgie du cristallin artificie.

II. On dit souvent que nous vivons dans un monde „difficile et agresif” Qu’en pensez-vous?

Je pense aussi que nous vivons dans un monde difficile et agresif, difficile- parce-que on permetre pas de avoair touts ce que on veut,parce-que les jeuns sont mechante et parce-que la societe ne offerent pas beauqup chance. Et je vois toujour que on vivons dans un monde agresif, je vois au tele, dans école, dans la rue, sur estade etc. Je pense que la petite violence peut pourir a vie, au-delà des actes graves, le quotidien des jeunes; entre bousculades et injures, est une incessante guerre des nerfs. Cette violence est le reflet de celle que les jeunes connaissent à l'extérieur. Simplement, à l'école, les adultes la voient et s'en rendent compte.Cependant, meme dans les quartiers défavorisés, certains établissements sont touchés par une violence très forte et d'autres non.Les nouvelles forme violence sont beauqoup, il ne s'agit plus d'une contre un autre, mais d'un groupe contre un élève seul. C'est la fameuse „melée”, dans laquelle une dizaine d'élèves bousculent très fortement un autre, jusqu'à lui faire très mal. Il ne faut pass prendre la violence seulement par le biais de faits divers spectaculaires ou des attaques physiques violentes, mais par le toutes petites violences qui se répètent au quotidien. Il faut comprendre l'importance de ces petits faits qui finissent par pourrir la vie de ceux qui en soufrent. Ca peut etre des surnoms injurieux qui finissent par dévaloriser, des bousculades, du petit racket, etc. Cela peut se produire partout, mais l'intensité, et la fréquence de ces actes est quand meme plus importante là ou les jeunes sont les plus „sceptiques” sur leur avenir.


Raspuns oferit de un elev al clasei XII, care doreste sa ramana confidential.
Multumiri.